Espagne 2012, la route est bonne
A 7h30, alors que le car approche de Carcassone, beaucoup de nos jeunes voyageurs sont encore endormis.
La pause petit-déjeuner est prévue vers 8h30, aux parages de la frontière.
La nuit a été calme, et le changement de chauffeurs s’est opéré à Orléans-Saran comme prévu, avec deux nouveaux pilotes.
Lors des arrêts, le groupe a confirmé le calme qu’on attendait de lui et les accompagnateurs sont sereins.
« Tout va bien« , confirme Mme Iratzoqui.
Espagne 2012, la 1e journée
Les réveils progressifs dans un car qui avait avancé durant la nuit ont permis à nos jeunes gens de découvrir les premiers paysages méditerranéens de leur séjour.
Le petit-déjeuner pris sur le pouce a remis la troupe en route.
Comme promis, le teatro museo Dali de Figueras a accueilli le groupe. Il a été trouvé « intéressant, mais quand même un peu spécial » par nos apprentis polyglottes.
A l’heure du goûter, le départ sonnait pour Tarragone.
Chacun a pu repartir en groupes de 2 ou 3 vers la maison de la famille hôtesse.
Gageons que nos petits auront besoin d’une bonne nuit de remise en forme.
Rendez-vous demain pour les « antiquités de Tarragone« .
Espagne 2012, c’est parti !
Après le chargement des bagages et un petit moment de mise au point pour régler les derniers détails, le car s’est élancé vers Tarragone et sa région.
La nuit devra être reposante, car les visites démarrent dès l’arrivée sur place.
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On accueille les correspondants allemands, l’arrivée
Avec la ponctualité qui les caractérise et malgré un petit incident de stationnement, nos amis de Remscheid sont arrivés sur le parking du collège à 18h00.
Depuis le début de la journée, on sentait monter l’attente et l’impatience, que les retrouvailles ont concrétisées.
Les trois drapeaux (français, européen et allemand) vont flotter sur Saint-Victrice durant 10 jours.
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Pourquoi choisir le latin à la fin de la classe de 6e ?
“Je suis en 6ème et je me demande si je dois “faire” du latin l’an prochain…”
– D’abord, tu vas t’apercevoir bien vite que le latin n’est pas une langue étrangère, il est présent tel quel dans nos expressions de tous les jours et il est à l’origine de la plupart de nos mots français. Chaque cours de latin permet d’approfondir le vocabulaire français, d’en expliquer l’orthographe, de trouver l’origine de mots anglais, espagnols et même de trouver des parentés avec les mots allemands. L’apprentissage des déclinaisons oblige à déterminer la fonction des mots et donc à faire beaucoup de grammaire. Le latin est donc un plus, pour le français. La civilisation romaine est abordée dans chaque séquence ; on découvre ainsi comment les Romains s’habillaient, mangeaient, vivaient en famille, pratiquaient leurs cultes, quels étaient leurs régimes politiques… Le latin apporte donc des connaissances générales.
“Cela va me prendre du temps ?…..”
– En 5ème, deux heures de cours ; en 4ème et en 3ème, trois heures permettent de respecter les programmes. En 5ème, un travail personnel de trente minutes à une heure par semaine permet de suivre très correctement. Les déclinaisons sont apprises en classe mais nécessitent absolument des révisions à la maison.
“Si je m’engage en 5ème, puis-je arrêter à la fin de l’année
- L’engagement en latin vaut le temps du cycle central, soit la 5ème et la 4ème, mais, bien souvent, il sera conseillé de persévérer jusqu’en 3ème.
“Dois-je être bon en français pour pouvoir suivre ?”
– Il n’est pas nécessaire d’en bon en français, il faut être curieux du fonctionnement de la langue et être capable d’absorber un surcroît de travail ; souvent, les “matheux” réussissent bien en latin car les cas et les règles instaurent un cadre loin d’être aussi « fantaisiste » qu’en français.
“On m’a dit que cela rapportait des points aux examens. C’est vrai ?”
- Au Brevet des Collèges et au Baccalauréat, le latin est valorisé et ne peut à l’inverse pénaliser. C’est le systèmes des options, avec une prise en compte des points au-dessus de la moyenne.
Maintenant, à toi de réfléchir avec tes parents…
Mme Testu
LA DISCIPLINE, UN JEU D’ENFANT
A l’initiative des APEL (associations des parents d’élèves de l’enseignement catholique) des écoles Sainte-Thérèse-d’Avila et Saint-Victrice, Mme Brigitte Racine a proposé une conférence de près de 2 heures sur le thème de la discipline. Cette infirmière et psycho-thérapeuthe canadienne est le promoteur d’une méthode nommée « Educoeur ». Il s’agit d’inviter les parents comme les éducateurs à asseoir leur autorité et leur pratique de la discipline, avec les enfants comme avec les jeunes, sur la manifestation de l’affection. « Il n’y a pas de discipline sans amour », scande-t-elle.
Les quelques 140 personnes présentes vendredi soir 13 avril dans les locaux du collège de l’Institution Saint-Victrice ont écouté avec grand intérêt cette conférencière vive et convaincante. Parents, enseignants ou éducateurs présents ont pu reconnaître des situations familières, très quotidiennes, dans les nombreux exemples pris. A la sortie, les échanges se sont poursuivis avec Mme Racine et quelques idées fortes semblent avoir inspiré les participants. « Si on s’intéresse à l’enfant surtout quand il proteste ou qu’il agit mal, on lui confirme qu’il a raison de mal faire ! Ayez en tête de consacrer plus de temps aux moments qui vont bien qu’à ceux qui vont mal ! Votre enfant sentira qu’il a donc plus d’avantages à ces moments-là ! » a répété une enseignante de maternelle, qui a bien vu que cette attitude réduisait énormément les caprices et attitudes agressives des petits.
« Quand ça ne va pas bien avec un enfant, c’est qu’il lui manque quelque chose » a insisté Brigitte Racine. A charge pour celui qui s’en occupe de percevoir le manque, peut-être seulement un temps d’attention personnelle. Et, parmi les attitudes proposées, on notait « la chaise du bonheur, qui valorise l’enfant dans la classe » ou les gestes qui permettent à un enfant de devenir autonome, donc responsable de ses actes. « Un petit ne peut pas refuser d’aller à la crèche ; c’est une nécessité. Mais on peut lui accorder de se préparer en ayant une part de choix : par exemple dans son vêtement. », suggère l’intervenante. « Cette démarche entre bien dans le projet éducatif de notre établissement, puisque nous souhaitons que l’enfant soit au centre des apprentissages et que chacun soit reconnu dans sa singularité, comme membre à part entière de la communauté scolaire de Saint-Victrice », confirme Mme Christophe, la directrice de l’école primaire Saint-Victrice.
Le dynamisme des parents d’élèves et de Mme Sauvageot notamment ont permis que cette soirée rencontre une audience large et soit accessible à un grand nombre de personnes.
LE CARNAVAL DE L’ANNEE
De jolis déguisements variés, de la couleur, des spidermen, des princesses, de fausses filles, le roi lion, des cow boy, Dracula, des footballeurs professionnels, des clowns, …
Des Bihorellais, des grand- parents, des amis faisaient partie du cortège et admiraient, parfois amusés par de drôles de tenues.
Arrivés à l’église, il s’agissait de montrer son plus beau visage car la presse locale est venue faire quelques clichés pour le journal Paris-Normandie.
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Super carnaval, à l’année prochaine
Hockey OK !
Les CM2 font leur cinéma : Le tournage a commencé !
Le scénario étant rédigé, le titre choisi (Double face), le casting a eu lieu. Voici les acteurs principaux du film :
Jade Vésier Hélène Maime
Chloé Lebouc Mlle Groneuil
Alexandre Merad-Raux M.Asoifé
Warren Canu Bastien Moissa
Tom Mauduit Nicolas Spiryne
Les scènes en extérieur ont été tournées jeudi dernier. Prochain tournage, cette fois-ci en intérieur, vendredi prochain.
Les élèves travaillent maintenant sur la réalisation de l’affiche en arts visuels et informatique. Elle paraîtra dans le prochain article.
Bravo à tous les élèves pour leur investissement dans cette aventure cinématographique !
GB jour 2 : Oxford
Aujourd’hui, sous un beau soleil, nous avons visité le musée Ashmolean, puis l’ancienne prison d’Oxford.
Le groupe a marché jusqu’à l’université. Des guides nous ont captivés sur l’histoire de ces « colleges » élitistes et nous avons pu admirer le réfectoire qui a inspiré les scènes d’Harry Potter.
Les soirées dans les familles semblent agréables à chacun.