Espagne 2012, un jeudi fort plaisant !
La journée s’est bien passée. Et les visites sont fort intéressantes, encore aujourd’hui.
Les élèves ont pu faire ces indispensables achats qui signent la visite dans un lieu étranger. Sans doute vont-ils ramener des merveilles à leurs proches.
Nous avons un groupe sympathique et curieux.
La soirée, la dernière dans les familles qui nous ont accueillis, va être une dernière occasion de parler dans le milieu intime la langue espagnole.
V. Irazoquy
Espagne 2012, la route du retour
La semaine s’achève déjà. Les élèves ont embarqué dans leur car à 21h30. Et personne ne manque à l’appel.
Avec les élèves, nous avons passé une excellente semaine, et l’ambiance est restée sereine et attentive.
Bonne soirée à toutes la familles … et à demain (samedi 12 mai 2012) pour le retour.
V. Iratzoquy
Les correspondants allemands chez Astérix
Espagne 2012, des photos !
Dans la ville de Tarragone, on a vu, hier, …
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Espagne 2012, on explore Tarragone !
Ce mercredi a été particulièrement ensoleillé, si bien que nos peaux de Normands ont commencé à rougir, mais grâce à l’attention quasi maternelle de nos accompagnateurs et … à un peu de Biafine, il ne devrait pas y avoir de coups de soleil.
Beaucoup des familles qui nous accueillent disposent de piscines : c’est épatant, même si cela suscitent quelques envies de camarades qui logent dans des appartements.
Manifestement, les langues se sont bien déliées dans les familles hôtesses, y compris pour les quelques taiseux dont on pouvait craindre un peu de retenue. Donc il devrait y avoir des progrès dans la maîtrise de la langue des joueurs du Barça. Car les efforts de communication sont manifestes, et efficaces.
Le manque de communication internet fiable nous prive de photos, mais quelques commentaires auront pu traverser la frontière :
« C’était une bonne visite, pleine de savoirs ; et le temps passé dans les familles est plein de bonheurs. Et j’espère que cela va durer« , a déclaré Sacha après la visite archéologique qui a pourtant duré 3 heures, mais que le guide a rendue fort intéressante.
De son côté, Marie estime que « c’était un très bon jour, agréable, enrichissant, avec un très beau temps« . Il est vrai que le Rallye-photo dans la ville, puis le moment sur la plage avec partie de foot incluse, ont donné bien des moments d’enthousiasme.
Quant à M. Michel, il est reconnu comme le boute-entrain de l’équipe, et nul ne s’en lasse.
Notre correspondante locale, réactive et dynamique, a su trouver une nouvelle maison pour loger deux garçons dont la famille a dû renoncer à les accueillir, leur enfant ayant été hospitalisé en urgence.
Mais pour la santé des Victriciens, pas de souci ! Même le bras d’Alexis a l’air de ne pas le gêner !
Viva Espana ! !
Espagne 2012, la route est bonne
A 7h30, alors que le car approche de Carcassone, beaucoup de nos jeunes voyageurs sont encore endormis.
La pause petit-déjeuner est prévue vers 8h30, aux parages de la frontière.
La nuit a été calme, et le changement de chauffeurs s’est opéré à Orléans-Saran comme prévu, avec deux nouveaux pilotes.
Lors des arrêts, le groupe a confirmé le calme qu’on attendait de lui et les accompagnateurs sont sereins.
« Tout va bien« , confirme Mme Iratzoqui.
Espagne 2012, la 1e journée
Les réveils progressifs dans un car qui avait avancé durant la nuit ont permis à nos jeunes gens de découvrir les premiers paysages méditerranéens de leur séjour.
Le petit-déjeuner pris sur le pouce a remis la troupe en route.
Comme promis, le teatro museo Dali de Figueras a accueilli le groupe. Il a été trouvé « intéressant, mais quand même un peu spécial » par nos apprentis polyglottes.
A l’heure du goûter, le départ sonnait pour Tarragone.
Chacun a pu repartir en groupes de 2 ou 3 vers la maison de la famille hôtesse.
Gageons que nos petits auront besoin d’une bonne nuit de remise en forme.
Rendez-vous demain pour les « antiquités de Tarragone« .
Espagne 2012, c’est parti !
Après le chargement des bagages et un petit moment de mise au point pour régler les derniers détails, le car s’est élancé vers Tarragone et sa région.
La nuit devra être reposante, car les visites démarrent dès l’arrivée sur place.
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On accueille les correspondants allemands, l’arrivée
Avec la ponctualité qui les caractérise et malgré un petit incident de stationnement, nos amis de Remscheid sont arrivés sur le parking du collège à 18h00.
Depuis le début de la journée, on sentait monter l’attente et l’impatience, que les retrouvailles ont concrétisées.
Les trois drapeaux (français, européen et allemand) vont flotter sur Saint-Victrice durant 10 jours.
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Pourquoi choisir le latin à la fin de la classe de 6e ?
“Je suis en 6ème et je me demande si je dois “faire” du latin l’an prochain…”
– D’abord, tu vas t’apercevoir bien vite que le latin n’est pas une langue étrangère, il est présent tel quel dans nos expressions de tous les jours et il est à l’origine de la plupart de nos mots français. Chaque cours de latin permet d’approfondir le vocabulaire français, d’en expliquer l’orthographe, de trouver l’origine de mots anglais, espagnols et même de trouver des parentés avec les mots allemands. L’apprentissage des déclinaisons oblige à déterminer la fonction des mots et donc à faire beaucoup de grammaire. Le latin est donc un plus, pour le français. La civilisation romaine est abordée dans chaque séquence ; on découvre ainsi comment les Romains s’habillaient, mangeaient, vivaient en famille, pratiquaient leurs cultes, quels étaient leurs régimes politiques… Le latin apporte donc des connaissances générales.
“Cela va me prendre du temps ?…..”
– En 5ème, deux heures de cours ; en 4ème et en 3ème, trois heures permettent de respecter les programmes. En 5ème, un travail personnel de trente minutes à une heure par semaine permet de suivre très correctement. Les déclinaisons sont apprises en classe mais nécessitent absolument des révisions à la maison.
“Si je m’engage en 5ème, puis-je arrêter à la fin de l’année
- L’engagement en latin vaut le temps du cycle central, soit la 5ème et la 4ème, mais, bien souvent, il sera conseillé de persévérer jusqu’en 3ème.
“Dois-je être bon en français pour pouvoir suivre ?”
– Il n’est pas nécessaire d’en bon en français, il faut être curieux du fonctionnement de la langue et être capable d’absorber un surcroît de travail ; souvent, les “matheux” réussissent bien en latin car les cas et les règles instaurent un cadre loin d’être aussi « fantaisiste » qu’en français.
“On m’a dit que cela rapportait des points aux examens. C’est vrai ?”
- Au Brevet des Collèges et au Baccalauréat, le latin est valorisé et ne peut à l’inverse pénaliser. C’est le systèmes des options, avec une prise en compte des points au-dessus de la moyenne.
Maintenant, à toi de réfléchir avec tes parents…
Mme Testu