Patrick Nivon

LE Mont Saint Michel

Jour 2 – Vendredi 27 septembre

7h15 : Les chambres ouvrent les yeux. Peu à peu les lits se vident et les sacs se remplissent. Ce matin, le zénith clair et bleu nous offre un croissant lumineux. L’horizon à peine gris ne parvient même pas à cacher la silhouette du Mont-Saint-Michel.

La photo n’est pas bonne mais l’on peut y voir…

8h00 : Le petit déjeuner est servi. En tenue de traversée, vêtus d’un short, les enfants déposent tous leurs sacs et valises et se dirigent vers la salle à manger.

8h45 : Les tubes dentifrice se déchargent et les cars se chargent.

9h : Nous roulons vers le Bec d’Andaine, point de départ de notre longue marche.

9h42 : Nous n’attendons plus que nos guides.

Peloton de pèlerins.

9h53 : On enlève les chaussures…

Et c’est parti… Suivez les guides !!!

13h07 : La traversée s’est terminée voilà déjà u.e petite heure. Le temps de passer quelques consignes au groupe, se se changer, de se chausser, et de grimper quelques dizaines de mètres d’altitude sur le Mont Saint Michel et d’improviser une petite salle à manger et les estomacs font le plein.

Traversée plutôt fraîche et humide, mais nos petits sont solides. Ils avaient déjà fait leurs preuves l’année dernière lors d’une randonnée de 12 km en montagne.

Voici quelques photos pour vous faire patienter. 

Dès que je retrouverai une position assise plus propice à l’exercice, à l’avant du car, je pourrai me permettre de vous en envoyer en rafales. Alors encore un peu de patience !

14H41, heure palindrome. Les sables mouvants, les champs de vase, les rives du Couesnon, et la vue sur sa Majesté le Mont Saint Michel ont laissé la place au vert bocage normand que nous traversons maintenant en cars, au sec et au chaud, confortablement installés dans un fauteuil tant attendu, pour un temps de récupération voire de reconstruction. Le temps est venu de sélectionner quelques images…

Et maintenant, en attendant une possible deuxième vague, de photos, un peu de littérature normande. Au XIXe siècle, Guy de Maupassant décrivait ainsi le mont Saint-Michel et sa baie dans sa nouvelle, Le Horla.

« Une baie démesurée s’étendait devant moi, à perte de vue, entre deux côtes écartées se perdant au loin dans les brumes ; et au milieu de cette immense baie jaune, sous un ciel d’or et de clarté, s’élevait sombre et pointu un mont étrange, au milieu des sables. Le soleil venait de disparaître, et sur l’horizon encore flamboyant se dessinait le profil de ce fantastique rocher qui porte sur son sommet un fantastique monument. »

16h00. On avance, on avance, on avance… Dès que nous aurons dépassé Caen nous vous donnerons une estimation (probablement une confirmation) de notre horaire d’arrivée sur le parking du collège.

17h00. On n’avance plus très vite. Suite à un arrêt pipi d’urgence, notre car (car n⁰2) s’est retrouvé dans un bouchon (routier et vésical ;-) que l’autre car (car n⁰1) avait évité en continuant sa route. Par conséquent, le car n⁰1 a déjà dépassé Caen alors que notre car (le n⁰2) est dans les bouchons du contournement de Caen. Ainsi, nous arriverons en deux vagues. Pour les horaires d’arrivée, merci de consulter votre messagerie Ecole Directe.

Horaires d’arrivée estimés :

* car n⁰1 : 18h10

* car n⁰2 : 18h45

** FIN **

De votre envoyé spécial en pèlerinage au Mont Saint Michel.

LE Voyage au Mont Saint Michel

Jour 1 – Jeudi 26 septembre

Depuis la rentrée des classes, dès que les premières informations sont tombées sur la traditionnel sortie au Mont Saint Michel, les élèves de cinquième ont commencé à rêver.  Et bien ça y est. C’est le jour J. C’est l’heure H. Le lancement est donné pour l’édition 2024.

7h30 : Rassemblés sur le parking du collège, les enfants donnent leurs derniers bisous à la famille venue les accompagner, puis ils commencent à monter dans les deux cars confortables, affrétés à leur intention.

7h48 : Avec notre très grande ponctualité légendaire, nous lançons les cars sur la route Philibert Caux en direction de l’extrémité sud-ouest de notre Normandie. Une légère pluie nous accompagne mais elle reste timide. Probablement impressionnée par Saint Victrice, et les Clarisses auprès desquelles il m’est avis que certains ont adressé des prières. Le jour commence à peine à se lever et la luminosité permettra bientôt de réaliser les premiers clichés.

8h47 : Petit interlude poésie avant la pause… 

Demain, dès l’aube, à l’heure où l’on quitte la nuit,
Quand la pluie fine encore caresse les forêts,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends,
Et que le Mont, là-bas, perce l’horizon gris.

J’irai par les chemins que l’aube rend humides,
Le car roulera lent sous le ciel incertain,
Je ne verrai ni champs, ni haies, ni routes vides,
Plongé dans les éclats des rires enfantins.

Mais le jour, peu à peu, lèvera son manteau,
Et d’un ciel bleuissant naîtra notre espoir clair.
Je lèverai les yeux, le cœur léger, plus haut,
Car le Mont Saint-Michel sera là, solitaire.

(Pas très naturelle cette intelligence littéraire… Mais c’est pas mal  ;-)

9h30 : Les vessies soulagées et les cœurs plus légers, nous reprenons la route sous un ciel lumineux moutonnant à peine.

11h22 : Abbaye de Hambye. Les cars sont garés.

Au programme, pique-nique sous la grange et dans les jardins, courses de pommes sur le bief de la Sienne, puis visite guidée. 

15h36 : 46 + 39… 85 élèves. À la remontée dans les cars, l’équipe de pèlerins est au complet. Maintenant, les nuages peuvent s’ouvrir et laisser venir à nous les petites gouttelettes retenues jusqu’à maintenant. Nous prenons la route vers notre résidence que nous devrions atteindre d’ici une heure.

Le réseau 5G est de retour et les photos peuvent enfin partir et surfer sur les vagues électromagnétiques jusque vers les plages de fréquences de vos terminaux.

Grue écureuil

Ruine de l’église de l’abbaye

Au bord du fleuve de la Sienne

Les jardins de l’abbaye

Le tour du domaine

Le bâtiment des moines et l’église

Le scriptorium

La salle du Chapitre

Le groupe des 5C devant les bâtiments

Le groupe des 5B

_ « Y’a moyen de la faire en carton celle-là. Voyons voir… Disons échelle 1/10. »

Gauguin et Matisse croquent un petit pont de pierre.

Quand le sujet est intéressant les artistes sont inspirés.

… Et la pierre revit

Petite histoire d’IA. L’abbaye de Hambye selon Pierre Bellemare. 

Dans les temps anciens, avant la construction de l’abbaye de Hambye, la vallée de la Sienne était une étendue sauvage, modelée par cette rivière sinueuse qui traversait paisiblement le bocage normand. La Sienne, une petite rivière typique de cette région, avait depuis longtemps sculpté la vallée, offrant un cadre propice à l’installation humaine.

C’est en 1145 que Guillaume Painel, un seigneur local, décida de donner une nouvelle vie à cette vallée. Mais avant d’aller plus loin, il est important de comprendre le contexte. Nous sommes en plein Moyen Âge. C’est une époque marquée par des châteaux, des seigneurs et des chevaliers, mais aussi par une forte influence de l’Église, qui jouait un rôle central dans la vie des gens.

Guillaume, comme beaucoup de seigneurs de son temps, pensait à son salut, à ce qui se passerait après sa mort. Pour assurer sa place au paradis, il décida de fonder une abbaye, un lieu où des moines bénédictins prieraient pour lui et pour la communauté. Il choisit ce vallon isolé, à la confluence de deux rivières, pour bâtir un sanctuaire où ces moines vivraient dans le calme et la prière. Ces bénédictins, venus de Tiron, une abbaye en France, commencèrent alors à construire un ensemble de bâtiments qui allait devenir l’abbaye de Hambye.

Pendant les siècles qui suivirent, cette abbaye prospéra. Grâce aux dons généreux des seigneurs normands et anglo-normands, elle devint un lieu influent et respecté, avec des filiales dans d’autres régions comme l’Angleterre et la Bretagne. Mais cette prospérité ne dura pas éternellement.

Vers le 15e siècle, une période de troubles, la guerre de Cent Ans, fit son apparition. Cette guerre, qui opposa les royaumes de France et d’Angleterre entre 1337 et 1453, affaiblit considérablement la région. Les seigneurs n’avaient plus les moyens d’aider l’abbaye, et le nombre de moines commença à diminuer. L’abbaye entra alors dans une longue période de déclin.

Au 18e siècle, elle était déjà presque totalement vide. Lors de la Révolution française, en 1791, les bâtiments furent vendus et l’abbaye fut transformée en carrière de pierres. Ses murs majestueux furent démantelés et vendus pour d’autres constructions. 

Ce n’est qu’au 20e siècle que l’abbaye retrouva une nouvelle vie. Grâce aux efforts de la famille Beck et du département de la Manche, l’abbaye de Hambye fut restaurée et ouverte aux visiteurs.

Aujourd’hui, en marchant dans ses ruines imposantes et en admirant ses voûtes gothiques, on peut presque entendre les pierres nous renvoyer l’écho des prières des moines qui, des siècles auparavant, faisaient de cet endroit un lieu de paix et de recueillement. 

L’abbaye de Hambye n’est pas qu’un vestige du passé, c’est un témoin vivant de notre histoire, une histoire qui continue de s’écrire à travers les visiteurs qui arpentent et qui visitent ses salles, ses murs et ses jardins. Oui, c’est aussi à travers vous, chers enfants de Saint-Victrice, que l’abbaye de Hambye continue d’écrire son histoire.

16h25 : Nous sommes bien arrivés. L’Étoile de la Mer nous ouvre ses branches. Nous allons maintenant prendre possession de nos appartements et préparer la longue journée de demain.

Petit briefing en salle de réunion pour caler le programme de la soirée puis chaque chambrée reçoit sa clé et rejoint son bâtiment.

Bâtiment Saint-Michel pour les filles

Bâtiment Mascaret pour les garçons

Et sur la photo ci-dessus (Bâtiment Mascaret), avez-vous remarqué ? Sur la droite… Entre les arbres… Il est tout prêt !

*****

Douche, temps de repos et rendez-vous à 18h30 pour la distribution des pique-niques de demain midi.

19h00 : Dîner ! Des forces pour demain… Et des farces pour ce soir.

20h30. Briefing et direction les chambres.

La première journée touche à sa fin. Le temps est venu pour la nuit de construire les rêves qui feront d’aujourd’hui des souvenirs pour demain.

Bonne nuit à tous.

à suivre…

De votre envoyé spécial, pérégrinant vers le Mont Saint Michel.

 

Hambye, les 5⁰ sur les traces des Bénédictins

MARDI 19 SEPTEMBRE

7h15 : L’Étoile de la Mer se réveille et se prépare pour un petit déjeuner à 8 heures sonnantes… La journée commence !

9h09 : Pile à l’heure, nous quittons notre Étoile de la Mer en direction de la « ruche » suivante.

Après « l’abeille du Mont-Saint-Michel », nous allons d’ici une petite heure, découvrir une autre abeille normande, l’abeille de Hambye ;-)… (Heureusement que j’ai fait Ruche troisième langue, sinon je n’aurais pas pu comprendre pourquoi certains élèves nous faisaient part de leur peur de se faire piquer 🙂)

En attendant d’y arriver, pour celles et ceux qui se demandent où résident les  Hambions, voici une petite carte :

13h45 : Après quelques heures en zone blanche, nous pouvons enfin tirer la couverture 4G à nous et vous proposer quelques clichés de l’abbaye bénédictine de Hambye (lire ambi) : 

15h24 : Petite pause à Beuzeville… Et ça repart. 15h53, nous reprenons la route pour être à l’heure prévue sur le parking du collège. Les conditions de circulation nous sont favorables… Pourvu que ça dure !

16h56 : Nous passons le tunnel de la GrandMare. La circulation est désormais fluide…

L’heure arrive, bientôt, de vous rendre vos enfants, cette communauté de 76 élèves qui s’est un peu renforcée, partageant deux jours durant, des règles de vie, parfois nouvelles, et des souvenirs communs sur lesquels ils pourront construire ensemble, cette culture  commune qui fera de chacun d’eux, un membre du Corps des Cinquièmes de l’Institution Saint-Victrice. 

Au nom de toute l’équipe, merci de votre confiance.

De votre pèlerin spécial, sur la route des abbayes.

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Mont-Saint-Michel, les 5⁰ pérégrinent

LUNDI 18 SEPTEMBRE

C’était à Bihorel, faubourg de Rouen, de bon matin au pied du car…

7h20 : … 73, 74, 75, 76 ! Appel rendu, manque personne. On peut y aller !

_ « Medames et Messieurs, dites au-revoir à vos petits ! »

7h51 : Tous soucis logistiques écartés, nous pouvons prendre le large. Les 76 ceintures sont bouclées. C’est parti pour les rives du Couesnon !

9h58 : L’A13 était dégagée de toute  précipitation et tout ralentissement. Le périphérique de Caen s’est grand-ouvert devant nous. L’A84 que nous abordons à l’instant, s’annonce tout aussi dégagée.

Pendant ce temps, dans le car, tout le monde va bien !

Une pause est annoncée d’ici une petite demi-heure…

11h07 : Fin de la pause. 76 élèves au comptage lors de la remontée dans le car. _ « On peut y aller Sylvestre ! »

Une invitée de dernière minute, pas du tout surprise mais en avance sur nos prévisions, nous tombe dessus en petites gouttelettes fraîches. Impressionnée par notre nombre, elle s’en est allé assez rapidement, de sorte que le pare-brise  reste sec.

11h42 : Bec d’Andaine en vue… Le pique-nique approche. La pluie s’éloigne.

13h00 : Rassemblement et briefing.

Nos deux guides nous expliquent les consignes et le programme. 7 km de marche. Kway obligatoire… 

Déshabillage des pieds :-) Prêts ? Partez !

Objectif en vue…

_ « Pfiou, c’est loin ! »

Rendez-vous dans 3 heures et 7 km.

18h07 : Nous voilà dans le car, au sec, en route pour L’Étoile de la Mer, et avec un peu de 4G… Vous attendiez quelques photos ? Votre patience est sur le point d’être récompensée…

Une ou deux grosses bourrasques accompagnées de pluie ont su donner un peu de piquant à une traversée au demeurant très agréable. Vasières, méduses, traversées de fleuves, sables mouvants… Que de bons souvenirs à vous raconter au retour.

18h35 : Étoile de la Mer en vue… Nous entendons déjà sonner la cloche du dîner…

19h00 : le dîner. Hmmmmm ! Il était temps, quelques-uns commençaient à piquer du nez.

21h39 : Les chambres sont attribuées et les douches sont prises ; les pyjamas enfilés et les dents brossées ; les chambres ventilées par l’air frais du soir ;  les fenêtres et les duvets refermés… Dans quelques minutes ce sera l’extinction des feux.

Alors avant de nous quitter pour nous retrouver demain, une dernière invitation au voyage…

… Bonne nuit à tous, et à demain, pour de nouvelles pérégrinations. 

De votre pèlerin spécial, sur la route des abbayes. 

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  • Recrutement Service civique
    Pour la rentrée 2024, l’Institution Saint-Victrice recrute 4 jeunes en mission de Service Civique pour des fonctions éducatives, comme : accompagnement aux devoirs animations sportives groupes de besoins ou d’activités … Si tu as envie de découvrir le travail en milieu scolaire, contacte dominique.tamarelle@saintvictrice.fr 
  • Les fournitures scolaires prévues pour la rentrée 2023
    Accès direct
  • Collecte pour la Banque alimentaire
    2 917 kg de nourriture ont recueillis grâce à nos collégiens et à tous les adultes qui ont participé les 31 mars, 1et 2 avril.
  • 2 917 Kg
    C’est le résultat de la dernière collecte de la Banque alimentaire au Super U de Bihorel avec l’aide de nos collégiens et des amis. C’était les 31 mars, 1 et 2 avril 2023. Merci aux clients !
  • Les CP et le musée des Beaux Arts…
    Notre proximité avec le musée des Beaux Arts à Rouen est une chance exceptionnelle pour nos élèves pour découvrir l’ART. Dans le cadre de notre projet d’année sur l’EAU, les CP ont bénéficié d’un échange avec une conférencière et d’un atelier peinture. Merci aux élèves pour leur qualité d’écoute et pour leur talent ! Merci… Lire la suite : Les CP et le musée des Beaux Arts…
  • Actifs pour ELA
    Les écoliers de STA et les collégiens ont été efficaces ! 1600,70 € ont été remis à l’association ELA en cette fin d’année. Merci à tous et bravo pour votre solidarité !
  • Collecte de la Banque alimentaire
    Les 26, 27 et 28 novembre 2022, 37 collégiens accompagnés d’adultes (parents, professeurs, amis) ont permis de collecter 3 545 kg de nourriture au Super U de Bihorel. Bravo et merci pour ceux qui en ont besoin !
  • Dons pour ELA
    La générosité des familles et des enfants s’est confirmée. Plus de 1 500€ ont été remis à l’association ELA à la suite des dictées, courses et collectes de fin octobre 2022 dans nos 3 établissements.
  • Naissance
    Clémence Leclerc (Mme Mulot depuis quelques semaines !), aide-maternelle à Saint-Victrice, a donné le jour à Basile, ce mardi 26 avril. Le bébé et la maman se portent bien.
  • Collecte pour la Banque alimentaire
    Grâce aux clients et à nos collégiens (bien accompagnés par des adultes), 2 741 Kg de nourriture ont été récoltés lors des journées de  collecte au Super U de Bihorel (début avril 2022). Bravo à tous les participants !
  • cérémonie de remise des diplômes
    VENDREDI 12 NOVEMBRE au Foyer municipal de Bihorel à 18h30   Les lauréats et leurs familles sont accueillis dès 18h00, et sont conviés au cocktail qui suivra
  • (pas de titre)
    Nous venons d’apprendre le décès de Michel DUFAYET, qui fut instituteur dans notre école jusqu’à sa retraite, en 1990. Il restait attaché à notre Institution et passait parfois nous faire un signe d’amitié. Ses obsèques seront célébrées vendredi 22 octobre 2021, à 14h30 à St Martin du Vivier, sa paroisse.
  • Collecte de la Banque alimentaire
    Grâce à la mobilisation des quelques familles, de collégiens et d’amis, nous avons pu recueillir 3191 Kg de nourriture au Super U de Bihorel lors de la Collecte de printemps (10, 11 et 12 avril 2021)
  • Résultat de l’élection au CMJ…
    Le scrutin pour le Conseil municipal des jeunes de Bihorel s’est déroulé la semaine passée, sous la responsabilité opérationnelle d’Oriana Passérieux. Les élèves Bihorellais de Saint-Victrice auront des représentants : au collège :  Rose Thirel (5A) Charles Vacaresse (4C) à l’école : Anaëlle Cutulic Félicitations Anaëlle, Rose et Charles !!!
  • Naissance
    Mme Vébobe (secrétaire et « voix de Saint-Victrice« ) a donné naissance à Kéilha, une ravissante petite fille arrivée le 31 décembre, au crépuscule de 2020. Joie et et santé au bébé et à sa famille !