Dominique Tamarelle
ON PART POUR LE CANADA !!
Dimanche matin 10 avril 2011, les vingt-cinq collégiens et leurs trois professeurs ont rendez-vous à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle à 10h30 pour prendre leur envol vers nos correspondants de Woodstock (Ontario).
Dès vendredi, l’attente était palpable à la sortie des cours.
LE PERE VARIN CHEZ LES 6e
Le Père Jean-Claude Varin, tout jeune prêtre de la paroisse de Bihorel, est venu se présenter aux classes de 6e, le jeudi 31 mars.
Les élèves l’ont écouté avec attention quand il a décrit l’organisation de la journée d’un prêtre. Lever tôt, prière, messe. Puis diverses activités comme aujourd’hui venir parler aux élèves de l’institution Saint-Victrice.
Alors que tout jeune il voulait devenir professeur, un appel intérieur lui répétait : « prêtre, pourquoi pas toi ? ».
Puis un échange intéractif s’est instauré :
« Comment êtes-vous devenu prêtre ? »
Un long parcours de 2 années à Paris puis 5 ans à Rome – Avez-vous rencontré le pape ?
Je l’ai vu oui ! mais vu seulement, pas précisément rencontré ! – Est-ce dur d’être prêtre ?
C’est une tâche exigeante car il faut se situer dans toutes les relations : amicales, professionnelles, mais je suis prêtre et heureux. … »
Le Père Varin est parmi nous pour 3 ans. Il a au sein de notre Institution la tâche de participer à la pastorale auprès de Madame Balland-Poirier et de préparer les enfants qui le souhaitent au baptême, à la première communion et à la profession de foi.
Brigitte du Plouy
L’ESCRIME AU PRIMAIRE
Les classes de primaire, du CE1 au CM2, bénéficient de 6 séances d’1h1/2 par semaine d’un sport qu’on n’imagine pas souvent à l’école : l’escrime.
Nous avons suivi la classe de Madame Lapert : CM1/CM2 lors d’ une séance de cette discipline.
C’est sous la direction d’ un professeur, M. Laurent Delbecque, Maître d’armes, moniteur diplômé d’Etat de la Fédération Française d’Escrime que les cours ont lieu.
Les armes utilisées sont l’épée, le fleuret ou le sabre. Ce jour là, les élèves étaient équipés de sabre. L’ initiation à ce sport permet de travailler des notions telles que l’attention, la maîtrise de soi, la gestion de l’espace, le respect de l’adversaire et de l’arbitre.
Attaques, parades, ripostes.. les élèves apprécient ces heures de découverte d’un sport peu médiatisé et méconnu des enfants.
Brigitte du Plouy
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LES DP3 RECOIVENT MAÎTRE CAMBIER
« La marine recrute« , c’est ainsi que le marin Cambier (momentanément à terre) est venu parler aux élèves de 3e dans le cadre de la découverte professionnelle.
Ce militaire nous a parlé de lui, de son parcours : Bac Scientifique , engagé comme mécanicien. Puis par concours, il a réussi à passer son BTS.
Il a fait ses armes sur le bateau école La Jeanne d’Arc et a fait ainsi deux fois le tour du monde.
Les élèves ont vu un film présentant les différentes armées existantes : air, terre, mer.
Parmi les explications frappantes à propos de notre marine française,
la France avec les DOM TOM est le deuxième plus grand pays du monde en surface à surveiller ;
et ce chiffre : 48 000 marins Français sont en activité.
Il a expliqué aux élèves comment devenir marin : il faut avoir entre 16 et 25 ans et un niveau scolaire entre la 3e et la terminale. Tous les métiers civils y sont représentés. Exemple : infirmier (ère), vétérinaire, linguiste, mécanicien, secrétaire, logisticien….
A Fécamp, un lycée prépare un bac professionnel « marine ».
S’en est suivi un débat au cours duquel les élèves ont posé des questions qu’ils avaient préparées avec leur professeur M. Moura.
D’après notre enquête, cette rencontre a été appréciée car les réponses aux questions étaient claires et concrètes.
Brigitte du Plouy
LES CANADIENS
Nos hôtes Canadiens sont repartis tôt ce matin pour rejoindre leur contrée.
Tous étaient ravis de leur séjour et de l’accueil des familles Françaises.
Nos vingt cinq pionniers ont hâte d’être au 10 avril.
Brigitte du Plouy
PS : un message de dernière minute de M. Smith :
« Nous sommes de retour. Le trajet de Rouen à Paris s’est fait sans problèmes. Le métro etait loin d’être bondé. Le RER était rapide, et nous avons pu déposer nos bagages rapidement aussi. Le délai pour ensuite monter à bord de l’avion n’était pas trop long, ni trop court pour que les élèves ne puissent pas vider leurs bourses dans les boutiques de CDG.
Alors en somme, nous sommes arrivés à bon port. Merci pour tout. »