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Échange franco-allemand 2
REMSCHEID IX : Düsseldorf. (photos à venir)
8h00 : Déposés à l’École par Madame Terwellen, Monsieur Gouteux et moi assistons depuis le trottoir, entre l’arrêt de bus et l’entrée de la cour, à l’arrivée des élèves de la Sophie Scholl Gesamtschulle, à l’heure où l’obscurité fait place aux lueurs du jour. Parmi eux, de temps en temps, nous reconnaissons la mine souriante d’un petit Français…
8h15 : Plantés dans le Hall de l’école, nous accueillons les derniers. Ils disposent d’encore 5 minutes pour être à l’heure. 100% des minois sont illuminés par un sourire.
8h20 : Alors que Madame Louise vient juste de nous rejoindre… Driiiiiiiiiing!… En marche… Direction le fond du couloir… « Suivez les Grands 3°! »… À gauche, les escaliers… 2° étage… La bibliothèque… C’est l’heure du rassemblement et du débriefing. Tout le monde est là et commence à raconter sa soirée de la veille. Pas de couette trop courte cette année (n’est-ce pas L.?); ce matin, J. a pu faire son footing afin de rester en forme pour les championnats qui l’attendent à son retour en France. Continuer la lecture
Échange franco-allemand 1
REMSCHEID IX : TAG 1
9h37 : Quelques rares goutes de pluie tombées d’une couverture grise qui semble déjà se déchirer, se jettent sur le pare-brise du car. Ah… Il semblerait que nous soyons obligés de nous arrêter…
9h41 : Après la « pause pipi », E. B.-P. vient d’inventer la pause « je suis partie avec les clés de la maison ».
9h51 : Le pare-brise est désormais sec, et reste sec, malgré les 110 km/h qui meuvent à nouveau notre car.
10h05 : La Banque GSV vient d’ouvrir la salle des coffres… Opération comptage des billets… « … les billets de 20 ensemble s’il vous plaît… dans le même sens! »…
11h25 : Aire d’Assevilliers… 30 minutes d’arrêt. Petit vent mais grand soleil. Continuer la lecture
Allemands, le retour
L’allemand se chante !
Cap au sud !
Mardi 9 décembre 2014
REMSCHEID
Saison 8 – Épisodes 10 / 10
Cap au sud !
7:47 – La voiture entre sur le parking. Elle se gare. Les portières s’ouvrent. Presque toutes ensemble. Toute une famille en descend. Le coffre s’ouvre à son tour. Dans l’obscurité qui s’éteint, d’un nouveau matin qui s’éveille, une grande silhouette en sort une très grande valise et se dirige vers la soute tribord du car. Suivi de près par une autre silhouette, plus petite, il laisse dans la neige fraîchement tombée, des traces de pas qui cet après-midi auront déjà disparu. Cette scène se sera jouée trente-sept fois ce matin, un peu avant huit heures.