écrivains
L’ATELIER DES ECRIVAINS FAIT SA RENTREE !
Tu aimes écrire, jouer avec les mots, raconter des histoires, rédiger des articles ? Rejoins donc l’Atelier des Ecrivains du collège ! Et nul n’est besoin d’être « bon en français » pour s’inscrire !
Deux options sont proposées :
1. Le lundi, de 12h50 à 13h25 : le célèbre Journal sans Nom (le JSN pour les intimes) redémarre le lundi 22 septembre. Si tu aimes écrire des textes courts, rechercher des infos, faire des enquêtes, le JSN est fait pour toi.
2. Le mardi, de 16h45 à 18h15 : si tu aimes faire travailler ton imagination, créer des personnages et des histoires, si tu te sens prêt à écrire des textes plus longs, inscris-toi à l’option Roman ! Chaque séance est précédée d’un petit goûter offert par le collège. L’option Roman débutera le 30 septembre.
On peut évidemment s’inscrire aux deux options.
Les bulletins d’inscription vont bientôt circuler. Renseigne-toi auprès de ton professeur de français ou de ton professeur principal !
L’atelier des écrivains reprend ses activités
L’Atelier des Ecrivains de Saint-Victrice reprend ses activités le Mardi 2 octobre 2007, à 16 h 45. Toujours agréé par le rectorat et la Direction régionale des affaires culturelles, il est animé par Mlle Trémauville et M. Tamarelle, en compagnie d’un auteur normand : Olivier GOSSE, qui est également chanteur et metteur en scène.
Pas besoin d’être « bon en français » pour y participer : il suffit d’avoir envie …
- de jouer avec les mots
- de raconter des histoires
- de partager des moments de plaisir et de création.
Rappellons que le dernier livre de l’Atelier des Ecrivains est toujours en vente au secrétariat du collège.
L’Atelier des Ecrivains au Salon du Livre
27 mars 2007
L’Atelier des Ecrivains au Salon du Livre de Paris
Cet incontournable rendez-vous culturel a eu lieu du 23 au 27 mars 2006 au parc des expositions de Paris, Porte de Versailles. C’est un lieu où l’ambiance est bon enfant et où le parfum de la littérature se mêle aux odeurs moins poétiques du récent salon de l’agriculture. Il y a tous les genres de livres, du journal populaire à la BD, il y en a pour tous les goûts. Après une odyssée d’environ une bonne heure de train, nous arrivâmes à Paris pour enfin rejoindre (pour Mme Trémauville et M. Tamarelle) « la terre promise ». Voici quelques anecdotes qui ont ponctué cette agréable journée.
Vive la SNCF !
Le matin, nous avions rendez-vous dans le hall de la gare et la SNCF, prévoyante, avait prévu pour nous un homme en costume bleu pour nous conduire jusqu’à notre train. Dommage qu’il ne soit pas monté avec nous pour indiquer aux passagers que les places nous étaient réservées !!
Marine Coulibaly
Un passager acariâtre
Vers 9 heures, nous nous sommes installés dans le train. Une partie des places nous étaient réservées mais un homme âgé était tranquillement assis à une d’entre elles. Mme Trémauville lui expliqua poliment qu’il fallait la libérer mais il ne voulait rien entendre. Le dialogue devint tendu et au bout d’un moment, il partit en criant que « c’était mal organisé » ! Précisons qu’il était écrit au-dessus de sa tête que les sièges étaient réservés !
Grégoire Le Gall
Le stand polonais
Nous sommes tombées sur ce stand vers 11h30. C’est le seul à nous avoir donné des choses gratuites sans qu’on le leur ait demandé. Ils nous ont gentiment offert de petits carnets pour prendre des notes, carnets qui ne manqueront pas de nous servir pour le Journal sans Nom.
Elisa Cavyn
INDIENS
Il était 11h57mn46sec. Jérémy et Nicolas, deux étranges personnes dont l’origine nous est inconnue (enfin… pas tant que ça ! Ce sont deux anciens élèves qui ne veulent pas couper le cordon ! Ndlr) tombèrent sur le stand de deux Indiens (l’Inde était l’invitée du Salon, ndlr), alors qu’ils erraient dans une des allées. Crânes rasés et toges oranges, ils ressemblaient à des moines Shaolin venus tout droit d’un quelconque monastère Sud-Asiatique, mais nos deux aventuriers ne poussèrent pas plus loin leurs recherches, pressés par leur estomac qui criaient famine.
Nicolas LETHUILLIER
GALLIMARD
Au salon du livre il y avait le stand Gallimard. Ce stand était géant. Il y en avait pour tous les goûts, du plus petit au plus grand. J’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de professeurs des écoles. J’ai emmené mes copines, chacune a acheté un livre. C’était super !!!!!
Soraya Hamttat
Quiproquo
Vers 12h, nous nous sommes installés dans un coin du salon pour pique-niquer. On a fait une pause d’une trentaine de minutes. A la fin de ce moment de détente, deux vigiles du salon sont venus voir M. Tamarelle car ils croyaient que l’un de nous avait enfermé des personnes dans une pièce à l’aide d’un cadenas. Comme si nous nous baladions avec des cadenas sur nous ! M. Tamarelle a heureusement mis fin à ce malentendu !
Amélie Magniez et Mélanie Etienne
LE STAND ASTERIX
A 13 h 15, nous nous sommes dirigés (pour ceux qui étaient revenus à l’heure de leurs achats vers le point de rendez-vous ! ) vers le stand Astérix. Cette exposition montrait les étapes de la réalisation d’une bande dessinée. C’est un des exposants qui nous a expliqué la construction du travail du dessinateur Uderzo. Ce dernier débutait par le crayon, puis il repassait ses dessins à l’encre ; et mettait la couleur avec des pastels (aujourd’hui, ce travail sur les couleurs se fait avec un logiciel comme « Paint »).
Récemment, Les éditions Albert René ont diffusé toutes les BD d’Astérix avec un rajeunissement. L’encre effacée a été refaite et les couleurs ont été retravaillées par des infographistes.
Bill Petetin et Romain Monnier
Vers 14h, (le lecteur verra que les horaires varient… et pourtant nous avions calé nos montres ! ndlr) nous avons rencontré une personne qui nous a expliqué comment Uderzo avait réussi à rééditer « Astérix le Gaulois » en refaisant les couleurs. Nous avons vu les planches et les différentes étapes du travail. Ce fut un moment fascinant.
Frédéric Lelandais
CADEAUX
A 14 h00, Erwan et moi avons fait tous les stands de livres pour avoir des marque-pages et des stylo et des personnes très sympathiques nous en ont offert, ainsi que des bonbons . Voilà le contenu de notre trésor :
42 marques-pages
Bonne pêche pour nous !
Charles-Edgard DUFOUR
ACHATS
Vers 14h25 et 58 secondes, alors que je m’apprêtais à acheter dans le même stand un deuxième livre de la même collection, je m’aperçus à mon grand dam qu’il me manquait deux euros. Le vendeur, voyant mon désespoir me fit grâce des deux euros manquants. C’était un beau geste commerçant.
Dimitri Dumontier
Le 27 mars 2007, au salon du livre, nous avons visité tout l’endroit. Certains se sont perdus. Moi, j’avais beau visiter, visiter mais… mais rien ne me plaisait à part un livre sur les Porsche et un autre sur les Mercedes-Benz mais ils coûtaient 25€ et moi je n’avais que 7€. Je continuais, continuais, puis je tombai sur une BD appelée : TUNING MANIAC.
Je regardai le prix : 9,40€. OUF ! j’avais assez d’argent car avant, on nous avait donné un « chèque-lire » de 8€. Cela me faisait 15 € : 7 + 8 = 15 €. Je l’achetai.
Nous avions tous très chaud. Heureusement que nous avions de l’eau sur nous et qu’il me restait un peu d’argent pour m’offrir une canette de Lipton Ice Tea !
Nicolas Binder
Les bandes dessinées étaient rangées dans le même espace selon les éditions. Les prix variaient entre trois et une trentaine d’euros. Beaucoup de BD connues y étaient installées au prix de neuf euros quarante.
Laure Capitao
Concours BD
Stand H38 ! Non… F15 ! Après une course effrénée dans ce labyrinthe de stands, nous sommes submergés par une chaleur étouffante qui nous emplit les poumons ! Nous venons de terminer notre fastidieuse quête qui consistait à recueillir des informations sur de nouvelles BD.
Puis nous nous faufilons parmi l’abondante foule et arrivons au stand intitulé : « Escale BD ». Nous inscrivons nos coordonnées sur le coupon-réponse et glissons celui-ci dans l’urne surmontée de l’inscription « Concours BD ». Nous attendons impatiemment les résultats !
Jérémy Lepesqueur
Canicule !
Toute la journée, nous avons vraiment eu chaud car l’atmosphère du salon était étouffante. Un instant, nous nous sommes demandé si la canicule n’était pas de retour. Certains stands étaient de véritables grills à cause de leurs lampes halogènes. Nous avons beaucoup transpiré !
François Perré
Les dédicaces sur le vin
Vers 15h30, nous avons rencontré une dame qui faisait des dédicaces pour ceux qui voulaient se cultiver sur le vin ou la vigne. Arrivés devant le stand, nous vîmes trois personnes se dresser devant les clients. La dame nous a proposé un marque page, puis l’a dédicacé.
Mélanie DELAHAYE
A 15h45, l’heure du départ avait sonné. Nous quittâmes le Salon un peu tristes, direction Saint-Lazare. Il était l’heure de rentrer à Rouen. Dans le train, malgré la fatigue, chacun rédigea un petit texte contenant une anecdote marquante de la journée. C’est fourbus et heureux que nous arrivâmes à Rouen à 18 heures. Vivement l’an prochain !
L’atelier des écrivains
- organiser la rencontre avec des professionnels de la presse pour la jeunesse,
- « libérer » ou favoriser l’expression de l’originalité créatrice, par des jeux verbaux avec inducteurs,
- tenter la réalisation d’une édition avec les moyens scolaires et une diffusion à l’échelle de l’établissement,
- consolider les acquis éducatifs et ludiques liés à cette activité.
La convivialité présidant au déroulement des séances d’une heure trente permet aux participants de trouver la place qui leur semble propice et d’user des modes d’intervention les mieux adaptés :
- la lecture des productions est encouragée mais reste au libre consentement de l’élève,
- les animateurs partagent les temps d’écriture des élèves en se livrant à la même activité qu’eux,
- lors de la pause ménagée au milieu de la séance, le collège offre des boissons et des gâteaux, puis ceux qui le souhaitent peuvent soumettre au groupe les textes qu’ils ont produit en dehors des réunions.
Les dernières productions de cet atelier sont :
- « La Croisée des Pouvoirs » (juin 2006)
- « Livre, n.m. » (juin 2005)
- « Ils ont changé l’Histoire…. et elle ne s’en remet pas » (juin 2004)
- « DERAPAGES TEMPORELS ou comment changer le cours de l’histoire en 20 leçons » (juin 2003)
- « Un prof… comme vous n’en aviez jamais vu » (juin 2002)
- « Eaux de vies » (juin 2001)
- « Au-delà de vos jours » (juin 2000)
- « Vers un futur imparfait » (juin 1999)
- « Saint-Victrice : l’appel du cosmos » (juin 1998),
- « Le Fantôme de Saint-Victrice », roman collectif (juin 1997),
- « Le Journal sans nom », périodique réalisé par les élèves, édité depuis mars 1996.
Chaque année, un écrivain nous apporte son concours, avec un projet de publication en fin d’année.
Pour 2006-2007, le projet tourne autour du thème du regard de l’autre et du « mentir-vrai »
Dominique TAMARELLE – Claire TREMAUVILLE
Professeurs Animateurs