Institution
Un temps pour la Miséricorde avec nos classes de 4e
Prévu depuis de longs mois, le rassemblement des 4e de l’enseignement catholique du Diocèse de Rouen nous a permis de vivre un après-midi intéressant.
Descendus en bus pour aller à Saint-Maclou, nous étions attendus par Mme de Latour, … rejoints par le père François-Xavier. A l’aide de supports vidéos ou de diaporamas, les jeunes gens ont réfléchi sur le pardon à partir de la visite du pape Jean-Paul II à celui qui avait tenté de l’assassiner, ou sur les talents que chacun peut déployer.
Nous sommes ensuite allés à la cathédrale, où chacun a pu franchir la Porte Sainte, installée pour permettre à chacun de faire un pas symbolique vers la, pratique de cette belle valeur la MISERICORDE.

Dans la cour des Libraires, M. Tamarelle n’a pas manqué l’occasion de faire remarquer que nous étions à côté des vestiges de la cathédrale de saint Victrice
Le père François-Xavier nous a accompagnés et expliqué le sens de la démarche.
Dans l’abbatiale Saint-Ouen, un concert a enthousiasmé les jeunes. Le groupe XXX nous a fait chanter, sauter, danser, sourire, … et même prier et réfléchir !
Si un petit moment filmé par M. Nivon vous tente…
Conseil d’établissement à Saint-Victrice…
Merci aux personnes qui ont participé à ce conseil.
Beaucoup d’échanges, de partages, de bienveillance, de travail en équipe…
Des valeurs que reconnaissent bien volontiers tous les membres de ce conseil, merci à l’ENSEMBLE des membres de la communauté éducative qui tous les jours permettent à nos élèves de vivre cela!
Profession de foi
La célébration de la profession de foi pour une vingtaine d’enfants de notre collège et de la paroisse a marqué un point d’orgue dans une année où ils se sont préparés à cet engagement dans leur vie de Chrétiens.
Préparés par sœur Emmanuelle et Anne de Latour, encadrés par le père François-Xavier, les jeunes avaient visiblement conscience du sens de leur démarche.
Merci aux parents et amis qui les ont entourés. Merci à M. Berteaux qui a accepté de faire le reportage photos, dont quelques clichés vous sont offerts.
SAMEDI ET DIMANCHE
Comprendre… de l’Ascension à la Pentecôte
40 jours après sa résurrection, Jésus retourne auprès de son Père : c’est la fête de l’Ascension. Les apôtres qu’il a choisis pour continuer sa mission ne le verront plus de leurs yeux.
Avant de les quitter, Jésus a promis à ses disciples : « Vous allez recevoir une force, celle de l’Esprit Saint. »
Le jour de la Pentecôte, les apôtres réunis au Cénacle (grande pièce principale des maisons juives) sont enfermés par crainte des Juifs et des Romains qui ont fait mourir Jésus. Marie est avec eux.
Ensemble, ils prient dans l’attente du don promis par Jésus. Continuer la lecture
Ascension…
Belle fête de l’Ascension !
Que fêtons-nous à l’Ascension? (extrait du site CROIRE)
Le jour de l’Ascension tombe toujours un jeudi.
Pourquoi ? Parce que cette fête se célèbre quarante jours après le dimanche de Pâques, jour de la Résurrection de Jésus. Donc, faites le compte…
Ce nombre de quarante jours provient du livre des Actes des Apôtres où Luc écrit que Jésus « pendant quarante jours, était apparu aux apôtres et les avait entretenus du Royaume de Dieu » (Actes 1, 3). L’Église a retenu ce chiffre alors que pour les évangiles de Marc ou de Luc aucune mention n’est faite de ce délai de quarante jours. Bien au contraire leurs récits se gardent bien de donner le moindre délai, comme si les événements de la Résurrection de Jésus, les apparitions du Ressuscité, son ascension et le don de l’Esprit étaient une seule et même réalité.
Quarante jours après Pâques
Toujours est-il que depuis le IVe siècle, l’Église a fixé la date de cette fête quarante jours après Pâques. Il y a clairement l’intention de faire le pendant aux quarante jours du Carême : après quarante jours de prières et de jeûnes, autant de jours de fêtes et de joie !
Assez rapidement, la tradition chrétienne a situé l’Ascension sur le lieu du mont des Oliviers. Jardin en face de la ville de Jérusalem, lieu de rencontre habituel de Jésus et de ses disciples. Sur place, la tradition dit qu’on peut même voir la trace des pieds de Jésus qui serait restée sur le rocher !
Entrer dans la gloire de Dieu
De toutes les façons il est inutile de chercher à connaître, malgré les précisions données dans les récits bibliques, les conditions réelles de cet événement. Ce qui, en revanche, est plus manifeste – et tel est le sens premier qui apparaît dans les récits bibliques -, c’est la signification que revêt cet événement : en montant aux Cieux, Jésus exprime ce que signifie sa résurrection d’entre les morts, à savoir entrer dans la gloire de Dieu. Tel est aussi notre avenir : entrer nous aussi dans cette gloire du Père qui nous est promise.
Très rapidement, cette fête a connu une très grande importance. En France, lors du concordat signé entre Bonaparte et le pape Pie VII, l’Ascension est restée l’une des quatre fêtes d’obligation avec Noël, l’Assomption et la Toussaint. C’est-à-dire que même si ces jours ne tombent pas un dimanche, ils sont des jours chômés comme le dimanche. Aucun travail ces jours-là, mais grande fête et célébration dans les églises !
Cette obligation légale de jour chômé a été maintenue en 1905 lors de la renégociation des relations entre l’État français et l’Église catholique. C’est pourquoi, encore aujourd’hui, le jeudi de l’Ascension est férié!