Collège Saint-Victrice
LE FLOORBALL, PAR LUCAS GRISOLET
LE FLOORBALL
par Lucas Grisolet
Le floorball n’est pas très connu en France, c’est un cousin du hockey. J’ai choisi de vous présenter ce sport car je l’aime beaucoup et que je le pratique à Grieu.
D’où vient le floorball ?
Il a été créé en Suède dans les années 80 pour jouer l’été car il n’y avait pas de glace.
Voici un terrain de floorball :
Source : https://www.qwant.com/?q=floorball+terrain&t=images&o=0%3AD28BEB6CEEACC8F70C36F007E89F8AADB1A8C6AF
Le floorball se joue en intérieur avec un rink1 qui délimite le terrain comme vous pouvez le voir ci-dessus.
RHE76 : équipe de Rouen
Quelles sont les règles de ce sport ?
On y joue avec une crosse et une balle en plastique. Et une armure pour le gardien.
Pour les matchs, on fait des équipes de cinq contre cinq. Le match se divise en trois tiers temps, qui dure vingt minutes chacun.
Le 19 novembre 2023, il y a eu un match amical au gymnase Grieu Rouen contre Caen, qui a remporté la victoire.
Si vous voulez plus de renseignements, consultez www.rouenfloorball.fr
1Piste sur laquelle évoluent les joueurs.
L’Atelier des Ecrivains vous souhaite de bonnes fêtes… en haikus !
Aujourd’hui, les réunions parents-professeurs ont quelque peu perturbé l’organisation des salles, et c’est dans ce lieu si particulier qu’est le CDI que nos écrivains se sont réunis. Et qui dit salle particulière dit séance particulière : tous ont mis en pause la rédaction du roman de l’année pour s’adonner à l’écriture stimulante de haïkus sur le thème de l’hiver et de Noël !
En voici quelques-uns :
Un hiver arrive
Un vent frais sur mon visage
Il est déjà là
Louise & Mahée
Quand l’hiver arrive,
Que les feuilles sont loin sous terre,
La vie est paisible
Anonyme
Le ciel est couvert
Et la nuit est étoilée
L’hiver a pris place
Anonyme
L’INCONNU DU DONJON, PAR JEAN VEROUGSTRAETE
L’inconnu du donjon,
par Jean Verougstraete
L’inconnu du donjon à été écrit par Evelyne Brisou-Pellen. C’est un roman d’enquête mené par le Héro Garin trousseboef qui est scribe de son état et parcourt les chemins à la recherche de travail.
Il est fait prisonnier par erreur par un régiment qui arrêtait des soldats anglais qui allaient attaquer le château qui se trouvait au bout du chemin ;il est emporté avec les autres soldats anglais dans les cachots du château.
Le lendemain, les gardes demandent à chacun des soldats leur identité. Les gardes le libère et Garin est aussitôt employé par la dame du château pour faire l’inventaire.
Dans la garnison de soldats capturés, il y en a un qui est bien silencieux et qui ne veut rien révéler sur son identité. Selon le chef de la garnison, il parle une langue proche du breton ; on appelle donc quelqu’un qui sait parler le breton et on lui demande de parler au prisonnier pour obtenir son nom mais celui- ci répond qu’il a perdu la mémoire dans un naufrage.
Un peu plus tard, le seigneur du château déclare qu’il fera mettre à mort le prisonnier s’il ne donne pas son nom et Garin retourne à la geôle du prisonnier pour, à son tour, essayer d’obtenir l’identité du prisonnier car il sait également parler le breton et cette fois, il l’obtient : c’est le fils du duc de Lancastre. Garin cour annoncer cette nouvelle au seigneur Alain et évite ainsi la mort au prisonnier.
Le lendemain, il commence l’inventaire du château ;puis il va à la messe, mais pendant celle-ci, on annonce l’évasion du mystérieux prisonnier.
Garin est soupçonné de l’avoir aidé à s’évader et on découvre ensuite le corps de l’écuyer du seigneur Cette nouvelle bouleverse beaucoup la fille du seigneur, Mathéa dont Garin est amoureux et son fils, Reginart.
La soirée suivante, Garin se promène sur la courtine Nord quand il surprend une conversation entre le seigneur Alain et le vieux Simon, le chancelier du château. Il surprend des informations importantes : c’est le seigneur Alain qui a poussé son écuyer par-dessus les remparts car il a aidé le prisonnier à s’évader, et que Reginart et Mathéa ne sont pas les enfants du seigneur Alain.
Soudain, il entend les pas de gardes ; effrayé Garin s’enfuit et regagne ses appartements. Le lendemain, il apprend qu’un garde a été assassiné la veille sur la courtine Nord, là où il se trouvait au moment de l’assassinat, et Garin est encore plus soupçonné qu’avant. Quelques jour saprès, on signale un un deuxième meurtre : celui du capitaine de la garnison et encore une fois il se trouvait sur les lieux du crime.
Il est désormais poursuivi par tous les gardes du château mais il s’est caché dans les cuisines du château ;c’est Réginart qui lui a dit de se cacher ici car dans le puits qui est dans les cuisines, il y a une ouverture qui mène dans les souterrains par laquelle il pourra s’enfuir.
Soudain, on toque à la porte : ce sont des gardes qui viennent chercher Garin, vont-ils le trouver ?
Je trouve ce livre très bien et adapté au niveau de lecture de 5ème. Je trouve la fin du livre assez surprenante : il y a également toute une série de livres d’enquêtes où Garin Trousseboeuf est le héros, comme la Tour de Londres, le crâne percé d’un trou ou Les Pèlerins maudits et bien d’autres.
LE CONSEIL DE CLASSE, PAR SALOMÉ CARDON
Le conseil de classe,
par Salomé Cardon
En cette fin de premier trimestre, les professeurs se sont réunis afin d’observer les résultats des élèves, au cours de conseils de classe. Le JSN a voulu en savoir plus sur ce qui s’y déroulait en interrogeant un délégué de classe.
Comment se déroule le conseil ?
– Au début on fait le bilan sur ce qui s’est bien passé et moins bien passé, afin de proposer des améliorations.
Que faites-vous pour votre classe ?
– Nous, délégués, portons la parole de toute la classe. Nous représentons nos camarades.
Que dites-vous au conseil ?
– Nous transmettons l’avis de nos camarades et le conseil des professeurs nous répond.
Est-ce intéressant d’être délégué de classe ?
– Oui, mais cela le serait davantage si on pouvait défendre nos camarades, individuellement, en assistant à tout le conseil. Mais c’est quand même une expérience intéressante.
LES INÉGALITÉS ET LE RACISME, PAR ANDRÉ LACROIX
Les inégalités et le racisme,
par André Lacroix
Jusqu’à la guerre de sécession, aux Etats-Unis, les esclaves étaient des Noirs qui étaient vendus dans des ports en France et en Afrique. Cela s’appelait le commerce triangulaire ; pour pouvoir amener tous ces hommes que l’on appelait des « nègres », de l’italien nigro qui signifie noir.
Ils devaient faire un long et périlleux voyage dans un grand bateau où les futurs esclaves étaient vendus dans le pays où ils étaient arrivés, en Amérique. Les clients qui venaient étaient presque fatalement leurs futurs maîtres. Cette relation inégale étaient donc une source de violences et de maltraitances envers les esclaves. Ils pouvaient être pendant de multiples années chez un maître violent pour lequel ils devaient travailler matins et soirs, sous les durs coups de fouet, avec rarement un repas adapté à leurs estomacs.
Enfin, au bout de nombreuses années d’enfer, après tous les coups de fouets cruels de la part des esclavagistes, les Noirs furent enfin affranchis : ils devinrent libres en même temps.
Retenons un exemple : l’histoire cruelle d’un esclave noir qui fut lui aussi affranchi et qui se nomme Solomon Northup ; il a participé activement à l’union abolitionniste qui était évidemment anti-esclavagiste après la guerre de sécession.
Même si Abraham Lincoln avait mis en liberté les anciens esclaves , ce Président des USA les faisait engager dans l’armé du nord qui se battaient contre les sudistes commandés par le général Robert Ill Lee . Après cette guerre ,l’esclavage fut définitivement aboli, mais il y eut une loi disant que les noirs et les blancs n’étaient pas égaux
De la sorte, par exemple, des bus ne furent réservés qu’aux Blancs, sinon il y avait de bonnes places pour les Blancs et de mauvaises places pour les Noirs ; de la même façon, les Noirs ne pouvaient pas allers à l’école : cette longue période difficile fut appelée donc la ségrégation. Elle fut abolie par Barack Obama.
Avec ce long article, j’ai voulu vous raconter l’histoire lugubre de l’esclavagisme et de la ségrégation. Mais on pourrait en parler encore plus longuement… Il suffirait d’en parler à M. Moura, notre Super Prof d’HG.