Le carême, c’est quoi ?
Le Mercredi des Cendres
Les chrétiens célèbrent le Mercredi des Cendres. Quelle est la signification de cette journée ?
Le Mercredi des Cendres marque l’entrée dans le Carême.
On célèbre ce jour par un rite unique en ce son genre, qu’on ne fait qu’on fois par an :
au cours d’une messe, on marque le front des participants avec un peu de cendres.
Ce rite signifie que s’ouvre un temps de pénitence, c’est-à-dire de retour sur soi et de transformation intérieure.
Dans la Bible, les cendres symbolisent à la fois le péché et la fragilité de l’homme : quand quelqu’un se couvre de cendres, c’est pour lui une manière de manifester sa douleur à l’occasion d’une épreuve telle qu’un deuil. C’est aussi une manière de dire qu’on prend conscience de son péché et qu’on le regrette.
Le jour du Mercredi des Cendres, on lit un texte de l’évangile selon saint Matthieu où Jésus explique à ses disciples comment prier, jeûner et faire l’aumône.
Le Mercredi des Cendres est ainsi un temps de méditation sur le péché et sur la mort.
Ce jour-là les chrétiens jeûnent et sont engagés à se tourner vers leurs frères particulièrement les plus démunis.
Le Carême, c’est quoi ?
Le Carême est un temps important dans la vie des chrétiens. Il fait partie d’un itinéraire plus long qui va les conduire du Mercredi des Cendres, en passant par Pâques, à la Pentecôte. Mais pour quoi faire ?
Carême vient d’un mot latin qui veut dire quarante. Le Carême, ce sont 40 jours pour se préparer à la fête de Pâques.
C’est évidemment un chiffre symbolique qui fait référence aux quarante semaines nécessaires pour donner la vie à un enfant et on retrouve souvent ce chiffre dans la Bible : les 40 jours du Déluge, les 40 jours que Jésus passe dans le désert pour affronter la tentation. 40 jours, c’est ainsi un temps de mûrissement, de gestation, un itinéraire, un chemin vers…
Mais en réalité, c’est plus compliqué que cela :
d’abord si on compte bien on s’aperçoit que du Mercredi des Cendres à Pâques on a 46 jours ! Et effet, quand on parle de 40 jours c’est en ne comptant pas les dimanches, car le dimanche, le Carême est interdit : c’est un jour où ne jeûne pas, c’est la fête du Seigneur.
Ensuite, si on regarde le chemin dans son ensemble, on doit ajouter au Carême les 50 jours d’après Pâques qui nous conduisent à la Pentecôte.
Ainsi, le Carême est un premier temps, qui est proposé aux chrétiens pour vivre une transformation (qu’on appelle une conversion). On entend par là une mise en condition pour essayer d’être plus vrai, face à Dieu, face aux autres et face à soi-même.
Quand on pense Carême on pense tout de suite au jeûne. Pourtant le Carême, ce n’est pas seulement le
jeûne. Le Carême, c’est d’abord un temps offert pour travailler sur soi-même et sur sa manière d’être avec les autres et avec Dieu pour être plus à même de vivre la joie de la rencontre avec eux.
Et le jeûne n’est qu’un moyen pour ce travail.
Pour cela, l’Eglise propose à chacun de prendre des temps de jeûne, de prière et de partage. Le Mercredi des Cendres est la première étape.
Le Carême est un temps important dans la vie des chrétiens. Il fait partie d’un itinéraire plus long qui va les conduire du Mercredi des Cendres, en passant par Pâques, à la Pentecôte. Mais pour quoi faire ?
Carême vient d’un mot latin qui veut dire quarante. Le Carême, ce sont 40 jours pour se préparer à la fête de Pâques.
C’est évidemment un chiffre symbolique qui fait référence aux quarante semaines nécessaires pour donner la vie à un enfant et on retrouve souvent ce chiffre dans la Bible : les 40 jours du Déluge, les 40 jours que Jésus passe dans le désert pour affronter la tentation. 40 jours, c’est ainsi un temps de mûrissement, de gestation, un itinéraire, un chemin vers…
Mais en réalité, c’est plus compliqué que cela :
d’abord si on compte bien on s’aperçoit que du Mercredi des Cendres à Pâques on a 46 jours ! Et effet, quand on parle de 40 jours c’est en ne comptant pas les dimanches, car le dimanche, le Carême est interdit : c’est un jour où ne jeûne pas, c’est la fête du Seigneur.
Ensuite, si on regarde le chemin dans son ensemble, on doit ajouter au Carême les 50 jours d’après Pâques qui nous conduisent à la Pentecôte.
Ainsi, le Carême est un premier temps, qui est proposé aux chrétiens pour vivre une transformation (qu’on appelle une conversion). On entend par là une mise en condition pour essayer d’être plus vrai, face à Dieu, face aux autres et face à soi-même.
Quand on pense Carême on pense tout de suite au jeûne. Pourtant le Carême, ce n’est pas seulement le
jeûne. Le Carême, c’est d’abord un temps offert pour travailler sur soi-même et sur sa manière d’être avec les autres et avec Dieu pour être plus à même de vivre la joie de la rencontre avec eux.
Et le jeûne n’est qu’un moyen pour ce travail.
Pour cela, l’Eglise propose à chacun de prendre des temps de jeûne, de prière et de partage. Le Mercredi des Cendres est la première étape.