Herr GOUTEUX

Par Edern

Monsieur Gouteux est le professeur d’allemand du collège Saint-Victrice.

Il a choisi l’allemand car c’était la langue de sa grand-mère luxembourgeoise. Son surnom est Hermann von Gouteux et il est professeur principal des 6C.

Le JSN est allé à sa rencontre.

1. En quelle année êtes-vous arrivé à Saint-Victrice ?

Je suis arrivé en septembre 1987, après avoir enseigné trois ans à Vernon, en lycée, à Issoire, dans une école militaire et à Gournay-en-Bray, en collège.

2. Qu’est-ce qui vous a conduit dans cet établissement ?

Le hasard… ou presque. Le poste d’allemand se libérait et j’ai fait acte de candidature. J’ai ensuite été nommé sur ce poste.

3. Qu’est-ce qui vous a donné envie d’être professeur ?

Lorsque j’étais petit, je voulais être instituteur. Mais très vite, j’ai changé d’idée pour devenir professeur. Je souhaitais en fait rester à l’Ecole car j’aimais et j’aime toujours cela.

4. Pourquoi l’allemand ?

Vaste question !L’Allemand est une langue de famille car mes grands-parents, arrivés en France dans les années 30, parlaient cette langue et je rêvais de parler comme ma grand-mère. Mais je n’ai pas son accent allemand quand je parle français !

5. Que préférez-vous dans votre métier ?

Être en classe, échanger avec mes élèves, les voir grandir, constater qu’ils retiennent – au moins en partie – ce que j’essaie de leur de leur donner… et puis m’amuser avec eux.

6. Qu’aimez vous le moins ?

Deux choses : me lever tôt pour être à l’heure en classe et SURTOUT les tâches administratives imposées par l’Éducation nationale, car ce n’est pas le cœur de notre métier.

Edern Langlois Mailly

S’entraîner au basket, par Eden

Le basket est un sport collectif dans lequel nous devons beaucoup courir et ne pas lâcher notre adversaire. C’est pour ça que ça demande de l’entraînement. Je vais vous expliquer les entraînement.

Il faut toujours commencer par s’échauffer pour ne pas se blesser. Nous faisons des exercices de défense et d’attaque avec lesquels nous devons foncer vers le panier pour faire un double pas. On enchaîne avec des slaloms en dribblant avec la balle, puis en faisant une passe à notre coéquipière. Nous finissons par un match d’entraînement.

Ce n’est pas tout à fait la fin, car nous réalisons un « shoot américain »* avant le retour aux vestiaires.

* dans notre prochain article, vous pourrez découvrir ce qu’est un « shoot américain »