Ma rentrée en 6 A

Le 1 septembre 2022, je suis rentrée en 6 ème :

plus précisément :

Ce jour-là, un peu plus tôt, je dormais quand, soudain, j’entendis une voix qui disait : « Lola ! Réveille-toi ! c’est la rentrée ! ». Très vite, je sautai de mon lit pour aller déjeuner. Je pris ce que je mangeais d’habitude, allai me préparer et pris la route du collège. Je passai par la petite allée de graviers et franchis le portail pour la première fois : j’étais au collège. Je partis retrouver mes amies et discutai de tout ce qui c’était passé depuis le dernier jour de primaire.

On entendit soudain la voix de notre nouveau directeur : Monsieur Tamarelle. Il fit un discours et commença à appeler les élèves de chaque classe. Il commença par les 6 èmes C, les 6 èmes B puis les 6 èmes A. Mon prof principal était Monsieur Gouteux et toutes mes amies étaient avec moi.

Il nous emmena dans notre salle de classe et nous installa à nos tables de manière alphabétique ; puis il prit connaissance de tous ses élèves, leurs prénoms et nous informa des règles présentes dans ce collège grâce à notre carnet de correspondance. Il nous fit visiter les différentes salles de l’établissement, puis organisa le déroulé la journée.

Ce fut une expérience impressionnante et dont je me souviendrai toute ma vie.

Lola

MYSTÈRE A SAINT-VICTRICE

Le vendredi 23 octobre, l’A.P.E.L. a organisé un escape game intitulé « Mystère à Saint-Victrice ». Ce jeu a beaucoup plu aux élèves mais aussi à leurs parents.

Le professeur Nicleth, originaire du futur, était arrivé en 2022 grâce à sa machine à remonter le temps. Mais il avait un souci car sa machine était tombée en panne. Il fallait donc aider le professeur Nicleth à la réparer. C’était le but de l’Escape game : à l’aide d’énigmes, nous devions retrouver la clé permettant de réparer la machine du professeur Nicleth.

Les vingt-quatre équipes avaient le temps qu’elles voulaient mais, attention ! il fallait tout de même se dépêcher afin d’arriver avant les autres équipes. Car le professeur voulait réparer sa machine le plus vite possible. Et que personne ne souhaitait resté enfermé dans l’établissement tout le week-end.

Marion LETELLIER