Rencontre à Sainte-Thérèse-d’Avila
Rencontre avec d’anciens maires pour les classes élémentaires.
Classes de Mme Bellière et Mme Martin,
Le carnaval de la mi-carême à Sainte-Thérèse-d’Avila
Pour perpétuer la tradition de la mi-carême, l’équipe éducative avait invité tous les enfants et adultes de l’école à se déguiser ce jeudi 24 mars. Nos plus petits du jardin d’enfants étaient également de la partie !!!
Le thème du jour « Les Super-Héros de la Nature »
C’est sous un soleil magnifique que tous ont pu défiler dans le parc Andersen avant de nous retrouver pour partager le goûter !!
Ambiance assurée !!!
Une belle fête grâce à l’implication de tous !
Merci également aux parents qui ont contribué à la réussite de cette journée.
Le carnaval de la mi-carême à Sainte-Thérèse-d’Avila
Défi numéro 33… Ma Petite Planète
Bravo pour avoir relevé le défi du jeu Ma Petite Planète : venir avec une même couleur vendredi 25 mars…
Le bleu pour les élèves de P au CP et le blanc pour les élèves de CE1.
Vous pouvez admirer notre jolie planète avec les pôles :
Se réunir par catégories…
Les élèves des classes de CP et de CE1 ont posé par catégories de déguisement…
Pirates Indiennes Licornes Fées/Danseuses Ninjas Joueurs Héros invisibles Danseuses Miraculous Chevaliers Supers Héros Marvel Princessses

Saint-Victrice et la mi-Carême…
Jeudi 24 mars, les élèves sont arrivés déguisés !
Ce fut une très belle journée colorée, nos héros ont travaillé en classe avec beaucoup de sérieux.
L’occasion de faire admirer les magnifiques costumes au secrétariat et au collège.
L’après-midi, les carnavaliers ont dégusté des crêpes.
Merci aux membres de l’Apel et aux apprentis cuisine pour la réalisation de plus de 250 crêpes !
LES CP FONT LEUR CARNAVAL…
Merci aux familles pour leur implication dans ce projet très coloré !
Les vacances scolaires, par Léa
Les vacances scolaires, par Léa
Les vacances scolaires sont faites pour détendre les élèves entre plusieurs semaines de travail. Ils se reposent et reviennent en pleine forme ensuite. En général, les vacances durent 2 semaines. Ces 2 semaines sont consacrées au repos, à la détente, au loisir… si les professeurs ne mettent pas trop de devoirs. Il y a aussi les grandes vacances qui, elles, durent 2 mois (juillet et août)…pour reprendre une nouvelle année scolaire.
En France, il y a plusieurs zones car les vacances sont souvent décalées : les zones A, B et C. En octobre, en décembre et en juillet-août, elles sont en même temps. Pour les vacances de février et d’avril, elles sont décalées. Cette année, les premiers en vacances sont la zone B, c’est-à-dire la Normandie, Aix-Marseille, Amiens, Lille, Nancy-Metz, Nantes, Nice, Orléans-Tours, Reims, Renne, Strasbourg et leurs alentours. En deuxième, c’est la zone A, c’est-à-dire Besançon, Bordeaux, Dijon, Clermont-Ferrand, Limoges, Lyon, Grenoble, Poitiers et leurs alentours. Enfin, en troisième, c’est la zone C, c’est-à-dire Créteil, Paris, Versailles, Toulouse, Montpellier et leurs alentours.
Conclusion : il y a par an, en tout, 17 semaines de vacances scolaires (9 en juillet-août, 2 en octobre, décembre, février et avril). Les vacances sont très importantes pour les élèves. Ils reviennent plus concentrés qu’à leur sortie.
Léa Sellier
Les J.O. de Pékin, par Raphaël
Les Jeux Olympiques de Pékin 2022
Les Jeux Olympiques de Beijing (de Pékin) 2022 ont commencé le vendredi 4 février et se sont terminés le dimanche 20 février. C’est la Norvège qui domine encore une fois le tableau des médailles, suivie de l’Allemagne, de la Chine, des Etats-Unis puis de la Suède. La France est placé 10eme, avec un total de 14 médailles. Notre nation a gagné 5 médailles d’or. Ces 5 médailles dorées françaises sont celles de :
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Doublement Quentin Fillon Maillet au 20 km hommes et à la poursuite hommes
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Justine Braizas-Bouchet au mass start femmes
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Clément Noël au slalom hommes
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Gabriella Papadakis et Guillaume Cizeron au patinage artiste
Les prochains Jeux olympiques d’hiver qui se dérouleront en 2026 ont été attribués à Milan et à Cortina d’Ampezzo.
Raphaël Barbey
Entretien avec Isabelle, AESH, par Paul
ENTRETIEN AVEC ISABELLE VIVENS, AESH EN 6B
Pourquoi avez vous choisi le métier AESH (Accompagnante aux élèves en situation de handicap) ?
J’ai choisi ce métier parce que j’ai deux enfants et je me suis toujours intéressée au handicap à l’école.
Depuis quand travaillez-vous en tant qu’AESH au collège Saint Victrice ?
C’est ma troisième année
Pour vous, AESH, c’est quoi ?
C’est avant tout apporter de l’aide aux enfants qui en ont besoin, par une aide physique (il m’est déjà arrivé de m’occuper d’enfants handicapés physiquement) sinon c’est leur apporter une aide dans ce qu’ils font en classe.
De quel niveau de classe vous occupez-vous le plus ?
Dans toute ma carrière, ça a été la 6ème.
Pourquoi, à votre avis, les enfants ont-ils besoin de vous ?
Parce qu’il y a des enfants qui comprennent moins bien les consignes et ont besoin de quelqu’un pour les aider, parce que dans certains cas de handicap, les enfants ont des problèmes de concentration ou de comportement. Et souvent cela entraîne des problèmes de concentration. Mon métier consiste à les aider pour les consignes et puis apporter un support de confiance de façon à ce qu’ils puissent être posés et moins anxieux.
Pourquoi aimez-vous ce travail ?
J’aime ce travail parce qu’en général la relation qui est nouée avec les élèves dont je m’occupe est presque toujours bonne. Et puis je trouve que c’est valorisant pour moi de me dire que j’apporte de l’aide à des enfants qui en ont besoin.
Combien de temps travaillez-vous par semaine ?
Je fais des semaine de 26 heures.
Quel métier avez vous pratiqué avant AESH ?
Mon tout premier métier était factrice, pendant 25 ans. Puis j’ai travaillé à la Poste dans un service de ressources humaines.
Quelles études avait-vous faites pour être AESH ?
Le niveau requis pour être AESH, c’est le bac et je n’ai que mon bac.
Que faites-vous en dehors de votre travail ?
Je fais du théâtre entre autres. J’aime aussi écouter de la musique le cinéma et je m’occupe beaucoup de mes enfants.
Merci beaucoup Isabelle d’avoir répondu à toutes ces questions.
Paul GERALD