
Guillaume FAVRAY
Jacques Chirac, par Aurore
JACQUES CHIRAC
Jacques Chirac est né le 29 novembre 1932 à Paris et mort à Paris le 26 septembre 2019.
C’est un haut fonctionnaire et homme d’État français, ainsi que le président de la République française de 1995 à 2007. Il a été député de Corrèze et secrétaire d’État à partir de 1967, puis nommé Premier ministre par le président Giscard d’Estaing en 1974. Il devient maire de Paris en 1977 et décide de se présenter aux élections présidentielle de 1981.
Il est élu président en 1995. Le début de son septennat est marqué par la reconnaissance de la responsabilité de l’État français dans la déportation des Juifs au cours de l’Occupation.
À l’issue de l’élection présidentielle de 2002, il est réélu chef de l’État au second tour face au candidat Jean-Marie Le Pen. Pendant son second mandat, il prend la tête de l’opposition internationale à la guerre d’Irak lancée par Georges W. Bush.
À la suite d’un AVC en 2005, et confronté à une baisse de popularité, il décide de ne pas tenter un troisième mandat, son deuxième se finissant en 2007.
On retiendra de sa carrière politique quelques autres faits marquants comme :
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La réforme des retraites et de la Sécurité sociale, massivement contestée
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L’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris
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L’appel de Cochin
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L’abrogation du service militaire
Aurore Martin
Annulation du cross, par Angèle
L’ annulation du cross
D’après la décision du préfet et du rectorat, le cross qui aurait dû avoir lieu le mardi 15 octobre, a été reporté à cause de l’ incendie de l’ usine Lubrizol de Rouen à la fin de l’ année scolaire, au retour des beaux jours. Par la même occasion, le PPMS de ce mardi 15 sera de même remis.
Le report du PPMS est logique, puisque nous avons eu l’occasion de nous entraîner au confinement grâce aux fumées de Lubrizol.
Angèle NAUDIN
Lubrizol, par Afinan
L’impact que l’incendie de l’usine Lubrizol, classée Seveso, a eu sur moi
Jeudi 26 septembre, je me réveille, prends mon petit-déjeuner, m’habille, me lave les dents et commence à me coiffer. Pendant que je me coiffe, ma mère vient m’annoncer qu’aujourd’hui je n’irai pas en cours car une usine a brûlé. A ce moment-là, j’étais contente, mais quand j’ai vu le panache de fumée par la fenêtre… beaucoup moins. Je ne pensais pas que c’était aussi grave. Le week-end qui suit, je suis allée faire du shopping en ville avec ma mère. Avant de rentrer dans le magasin, il n’y avait aucune odeur mais à midi, en sortant du magasin, l’air était quasi irrespirable. Comme c’était l’heure de manger et que nous avions faim, nous sommes allées manger. Je pensais que ce genre d’incident ne pouvait arriver qu’aux autres, dans d’autres villes, mais non. Notre quotidien a été bouleversé par cet incendie catastrophique !
Afinan Zergui
Lubrizol, par Gandhi
L’incendie de Lubrizol
Le matin du jeudi 27 septembre, quelques minutes avant mon départ au collège, ma mère m’a dit : « Reste à la maison, une usine a brûlé près du collège et plein de produits chimiques se sont propagés dans tout Rouen et à plusieurs kilomètres aux alentours. » Ensuite mon père est sorti dehors pour tenter de sauver les récoltes du potager. Malgré tout ses efforts nous avons tout jeté. Notre composte était complètement pollué. Mais en sortant mon père a regardé avec étonnement la voiture de ma mère, toute tachée de noir. Deux heures après l’explosion, une odeur pestilentielle flottait sur tout le village. Dès le lendemain mon père et moi avons eu mal à la tête et à la gorge, et cela a duré pendant plusieurs jours. Le mardi soir à l’entraînement de foot, à certains endroits, la pelouse était noire.
Gandhi Moura
L’incendie de Lubrizol, par Sieglind, Sarah et Zélie
L’INCENDIE DE LUBRIZOL VU PAR LES SIXIÈMES
Dans la nuit du mercredi 25 au jeudi 26 septembre, un incendie a éclaté dans l’usine Lubrizol de Rouen.
Voici comment certaines de nos journalistes ont vécu l’événement :
Zélie Larson :« Je me suis réveillée, je me suis préparée, ma mère a reçu un message et moi aussi. Une maman et des amis nous ont prévenus qu’une usine avait explosé. J’étais tellement terrifiée que j’ai appelé tout le monde sur notre groupe 6ème (sur Snapchat) J’avais une boule au ventre. Ma mère nous a dit de ne plus ouvrir les fenêtres, les portes mais mon beau père, courageux, a décidé de partir au travail. »
Sarah Leroy : « Dans la nuit, mon chien a réveillé ma mère qui a réveillé mon père. Ils ont entendu les explosions. Ma petite sœur de cinq ans s’est mise à pleurer. Je me suis réveillée et j’ai cru qu’il y avait des coups de feu sur le trottoir en face de ma maison. Plus tard, je me suis levée et j’ai dit à ma mère que l’on était en retard pour l’école. La radio était allumée. Maman m’a expliqué qu’une usine avait explosé dans Rouen. »
Sieglind Derville : « Ce matin-là, mon frère nous a prévenus qu’une usine avait explosé. Il a allumé la radio sur France Bleue. Nous avons donc su que nous n’allions pas à l’école aujourd’hui. Ma mère a envoyé un message à monsieur Gouteux (à ma demande ) pour lui demander si on avait cours car je ne croyais pas mes parents et mon grand frère ! »