Le n° 33 du Journal sans nom est paru
Le n° 33 du Journal sans nom vient de paraître. Les élèves-journalistes ont beaucoup travaillé pour rechercher des informations dignes d’intérêt.
Au moment où nous mettons sous presse, malgré un énième préavis de grève des NMPP, nous ne savons pas encore si les blocages routiers de juin liés au mécontentement des poids lourds, avant les blocages routiers de juillet imputables aux vacanciers, seront levés.
Alors, plutôt que de faire de l’information à court terme, qui se périme dans la journée, ou au mieux dans la semaine, le comité de rédaction de votre canard épisodique a préféré se tourner vers un avenir réellement spacieux. Pourquoi ne pas songer à explorer une planète de notre système solaire ? Partez avec Chloé, Margo ou Noémie. Les destinations plus lointaines vous séduisent ? Antonin vous entraîne vers les trous noirs. Vous êtes casaniers ? Restez collés à Aurélien, notre reporter en Angleterre. Le froid ne vous rebute pas ? Songez à la Laponie avec Nicolas et Florian. Vous êtes prudents ? Ne restez pas chez vous : Charles-Edgar a vérifié auprès de Mme Duvilla que c’était trop dangereux !
OUI ! Les vacances approchent. Les programmes de classe se bouclent. L’angoisse monte aux alentours des classes de 3e dont les épreuves de brevet se dérouleront les 26 et 27 juin prochains. L’Atelier roman sort son best seller de l’été 2008 : « TOUT UN FROMAGE ».
Mme Ségard, elle-même, a les yeux rivés sur la rentrée 2008. Une activité tennis sera proposée aux élèves volontaires, comme l’option-foot qui continue. Les langues continueront à vous passionner (et à vous préparer aux divers voyages que nous avons déjà évoqués). Ces sujets ne sont pas encore traités dans ce numéro… parce tout ne peut se dire en une fois.
… et nous ne pouvons que redire ce que nous écrivions en mars dernier : « les membres du JSN se passionnent de plus en plus pour ce qui les dépasse, preuve, s’il en fallait, que notre journal a une dimension universelle ».
Alors, lecteurs, explorez avec nous l’univers proche ou lointain. Et n’oubliez pas que ce qu’on regarde avec le cœur est toujours plus beau, même si les mots sont parfois maladroits.