Ils sont passés par Saint-Victrice
Alexis Desseaux à Saint-Victrice…
Bihorel : l’acteur de la série « Julie Lescaut », Alexis Desseaux, en visite dans son ancien collège
Bihorel. Connu pour avoir incarné le commandant Motta dans la série Julie Lescaut, le comédien rouennais, Alexis Desseaux, est venu rencontrer les élèves du collège qu’il a fréquenté.

Moins attiré par la télévision aujourd’hui
C’était un retour aux sources pour celui qui a habité le quartier des Sapins, à Rouen, notamment dans l’immeuble Bayeux. « Ma maman m’a élevé seule, a-t-il expliqué. Elle a abandonné le chant et la danse qu’elle pratiquait dans un music-hall pour s’occuper de moi. J’ai aussi été en internat à Saint-Victrice, à une époque où l’autorité des enseignants et des surveillants s’exprimait différemment d’aujourd’hui et alors que seuls les garçons étaient acceptés. J’appréciais la proximité de l’hippodrome de Bihorel, qui représentait pour moi la campagne. » L’acteur a répondu aux questions de son auditoire sur son métier et s’est montré très accessible. Il a indiqué que pour devenir comédien, le conservatoire de Rouen, où il s’est formé plusieurs années, peut être une solution. Celui qui va jouer Kean, au théâtre de l’Œuvre, à Paris, à partir du jeudi 9 mai, n’a pas caché qu’il n’était pas un bon élève et qu’il était plutôt en retrait en classe. Le comédien est surtout connu pour la série Julie Lescaut, dans laquelle il a joué l’adjoint de Véronique Genest, durant de nombreuses années. « Cette notoriété peut amener les personnes qui me connaissent, à aller me voir dans des pièces sur des thèmes moins évidents, a-t-il estimé. Mais, si j’ai beaucoup appris en travaillant pour la télé, elle m’attire moins actuellement car les temps de tournage sont raccourcis et les histoires moins intéressantes. »
Alexis Desseaux était aussi à Bihorel pour la représentation de la pièce dont l’action se situe en 1916, à Verdun, Le Choix des âmes, vendredi 26 avril, au foyer municipal. Après s’être prêté au jeu des selfies et des autographes avec des élèves et des professeurs, il est reparti, souriant et modeste malgré un parcours artistique de quarante ans riche d’une cinquantaine de pièces. Auparavant, le comédien a conseillé aux élèves d’apprécier le moment présent, en confiant aimer son métier pour la richesse des rencontres humaines qu’il permet.
Article de C.Martel
Recherche Photos
Jacques BATAILLE recherche des photos de classe des années 1956 à 1961.
Si vous avez la possibilité de nous transmettre des copies de photos de cette époque, vous en serez remerciés.
Vous pouvez contacter Jacques BATAILLE : pussyjack@hotmail.fr
Semaine au Museum d’Histoire Naturelle
11 mars : premier jour de la semaine au Musée
Entre deux flocons de neige, les élèves de Sixième descendent au Museum à pied. Sur la route, un charmant boulanger, ancien élève de l’école Saint-Victrice leur a donné des petits choux… Il s’agit d’Alexandre Vilain, route de Neufchâtel, qui fournit du pain chaud presque en continu !
Les voilà qui mènent une enquête : un gardien a été victime d’une attaque. Quel animal est coupable ? Ils suivent les indices donnés par les animaux soupçonnés.
Les 3e ont réfléchi… et même avec les pieds !
Cette galerie contient 13 photos.
Comme chaque année, les professeurs principaux de 3e ont débuté la démarche d’orientation des élèves de 3e avec une journée de réflexion et de discernement.
Après un accueil chaleureux par sœur Emilie qui a raconté son étonnant parcours de vie, les « adolescents » (maître mot de la matinée) ont été invité à comprendre les enjeux de leurs choix de vie de manière ludique, puis en groupes de réflexion… avant le partage grâce au moment de compte-rendu qui a permis à une dizaine de valeureux de souligner les idées fortes de la matinée.
Après un pique-nique au chaud soleil de ce début d’octobre, la troupe a entrepris la « périlleuse » traversée de la forêt des Essarts.
Une belle journée, … qui laissera des souvenirs,… à n’en pas douter !
Thérèse PACAUD
Thérèse PACAUD est décédée le 13 janvier 2015. Elle était revenue à Availles-Limouzine (86) avec sa famille, en 1973 Roger son époux, avait assuré l’entretien de l’Institution durant de nombreuses années ; Philippe, son fils, avait résidé à Saint-Victrice avec eux jusqu’à 20 ans. Elle les a donc rejoints auprès du Père. Nos condoléances vont vers ses petits-enfants.